LES LEGENDES DU POKER
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KKlemant
Ad Vitam
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LES LEGENDES DU POKER
Puisque je me suis fait traiter de Doyle Brunson, je me suis dit qu’il serait sans doute intéressant de faire un petit topic sur les légendes du Poker.
Je vous propose donc de venir ici, présenter vos joueurs favoris.
Pas nécessairement des exemples pour vous, mais des types qui ont marqué ou marquent encore notre passe temps favori.
Je m’y colle pour le premier, à vous de faire que ce ne soit pas le seul …
Le « Grandfather of Poker », Doyle Brunson
Doyle Brunson est né le 10 août 1933 au Texas. Athlète prometteur, une blessure à la jambe brise son rêve de devenir basketteur professionnel.
Il finance ses études avec ses gains au Poker et, master en poche, il décroche son premier boulot.
La légende veut qu’il ait été invité, le premier soir, à disputer une partie de Stud Poker et y gagne plus d’un mois de salaire.
Il démissionne et entame une carrière de joueur pro.
Il rencontre alors deux joueurs, Amarillo Slim et Sailor Roberts. Ensemble, ils décident de mettre leur argent en commun et de sillonner le pays.
Au bout de 6 ans, lors de leur premier voyage à Las Vegas, ils perdent tout (un montant à 6 chiffres).
Leur association a vécu, mais ils restent amis. Doyle s’installe à Vegas et continue à jouer.
Et arrive le fameux 10 mai 1976.
Doyle est en tête à tête avec Jesse Alto, en finale du main event des WSOP au Binion’s de Las Vegas. En jeu, « quelques » dollars et le titre de Champion du Monde de Poker.
Il est large cheap et Alto vient d’effectuer une relance minimale, au bouton, avec A-J. Doyle suit avec 10-2 dépareillé.
Le flop est merveilleux pour Alto, lui donnant deux paires max avec A-J-10. Il décide de pièger Doyle et checke. Doyle pousse son tapis, Alto suit bien entendu. Le turn donne un 2 et la river un 10 à Doyle. Full des 10 par les 2. Doyle est Champion du Monde.
Et alors, me direz-vous.
Patience…
L’année suivante, même finale, mais face à Gary « Bones » Berland. Gary a touché deux paires, 8-5, sur un flop 10-8-5. Doyle et Gary se retrouvent à tapis. Et, vous vous en doutez, Doyle gagne au bout avec full des 10 par les 2, ayant en main les deux mêmes cartes que l’année précédente.
Vous comprenez maintenant pourquoi on l’appelle un 10-2 la « Doyle’s hand » !
Mais la carrière et la notoriété de celui qu’on surnomme aussi Texas Dolly (surnom qui lui est resté à la suite d'une erreur de lecture de son nom inscrit sur une fiche de tournoi), ne se résume pas à ces deux coups, somme toute assez lucky, en finales des WSOP. Doyle en remportera 8 autres (le dernier en 2005), plus un titre WPT et d’innombrables tables finales. Son compte en banque s’est rempli de 5 millions de dollars environ, rien qu’en tournois.
Doyle, parieur invétéré (il a, un jour, parié avec un ami, 1 M de dollars qu’il pouvait perdre 50 kilos. Il a, bien sûr, gagné 1M et perdu du poids !) est l’un des joueurs les plus respectés du circuit qu’il arpente encore malgré son âge.
Doyle a aussi écrit un livre, « Super System » (1979) et « Super system 2 (réactualisation de 2004) devenu l’une des bibles du poker.
Incontestablement joueur agressif, Doyle est de temps en temps classé dans la catégorie des joueurs serré-agressifs, c'est-à-dire ne jouant que les mains à fort potentiel et de manière très agressive lorsqu’ils sont engagés, Doyle est surtout un joueur capable de changer de stratégie, de s’adapter.
On ne devient pas légende du Poker pour rien …
(Sources internet multiples)
Je vous propose donc de venir ici, présenter vos joueurs favoris.
Pas nécessairement des exemples pour vous, mais des types qui ont marqué ou marquent encore notre passe temps favori.
Je m’y colle pour le premier, à vous de faire que ce ne soit pas le seul …
Le « Grandfather of Poker », Doyle Brunson
Doyle Brunson est né le 10 août 1933 au Texas. Athlète prometteur, une blessure à la jambe brise son rêve de devenir basketteur professionnel.
Il finance ses études avec ses gains au Poker et, master en poche, il décroche son premier boulot.
La légende veut qu’il ait été invité, le premier soir, à disputer une partie de Stud Poker et y gagne plus d’un mois de salaire.
Il démissionne et entame une carrière de joueur pro.
Il rencontre alors deux joueurs, Amarillo Slim et Sailor Roberts. Ensemble, ils décident de mettre leur argent en commun et de sillonner le pays.
Au bout de 6 ans, lors de leur premier voyage à Las Vegas, ils perdent tout (un montant à 6 chiffres).
Leur association a vécu, mais ils restent amis. Doyle s’installe à Vegas et continue à jouer.
Et arrive le fameux 10 mai 1976.
Doyle est en tête à tête avec Jesse Alto, en finale du main event des WSOP au Binion’s de Las Vegas. En jeu, « quelques » dollars et le titre de Champion du Monde de Poker.
Il est large cheap et Alto vient d’effectuer une relance minimale, au bouton, avec A-J. Doyle suit avec 10-2 dépareillé.
Le flop est merveilleux pour Alto, lui donnant deux paires max avec A-J-10. Il décide de pièger Doyle et checke. Doyle pousse son tapis, Alto suit bien entendu. Le turn donne un 2 et la river un 10 à Doyle. Full des 10 par les 2. Doyle est Champion du Monde.
Et alors, me direz-vous.
Patience…
L’année suivante, même finale, mais face à Gary « Bones » Berland. Gary a touché deux paires, 8-5, sur un flop 10-8-5. Doyle et Gary se retrouvent à tapis. Et, vous vous en doutez, Doyle gagne au bout avec full des 10 par les 2, ayant en main les deux mêmes cartes que l’année précédente.
Vous comprenez maintenant pourquoi on l’appelle un 10-2 la « Doyle’s hand » !
Mais la carrière et la notoriété de celui qu’on surnomme aussi Texas Dolly (surnom qui lui est resté à la suite d'une erreur de lecture de son nom inscrit sur une fiche de tournoi), ne se résume pas à ces deux coups, somme toute assez lucky, en finales des WSOP. Doyle en remportera 8 autres (le dernier en 2005), plus un titre WPT et d’innombrables tables finales. Son compte en banque s’est rempli de 5 millions de dollars environ, rien qu’en tournois.
Doyle, parieur invétéré (il a, un jour, parié avec un ami, 1 M de dollars qu’il pouvait perdre 50 kilos. Il a, bien sûr, gagné 1M et perdu du poids !) est l’un des joueurs les plus respectés du circuit qu’il arpente encore malgré son âge.
Doyle a aussi écrit un livre, « Super System » (1979) et « Super system 2 (réactualisation de 2004) devenu l’une des bibles du poker.
Incontestablement joueur agressif, Doyle est de temps en temps classé dans la catégorie des joueurs serré-agressifs, c'est-à-dire ne jouant que les mains à fort potentiel et de manière très agressive lorsqu’ils sont engagés, Doyle est surtout un joueur capable de changer de stratégie, de s’adapter.
On ne devient pas légende du Poker pour rien …
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Dernière édition par Ad Vitam le Mer 29 Sep - 8:11, édité 3 fois
Ad Vitam- Durrrr
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Merci beaucoup Ad pour cet article vraiment intéressant !!
J'avais entendu parlé de sa fameuse main 10-2 mais pas que cela devenait des full à la fin et 2 années de suite !!
J'avais entendu parlé de sa fameuse main 10-2 mais pas que cela devenait des full à la fin et 2 années de suite !!
KKlemant- Bureau du club
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Sensible aux flatteries de Kklemant, je ne résiste pas et vous en livre un autre …
« The Unabomber », Phil Laak.
Ces dernières années, un joueur un peu spécial est devenu la coqueluche des médias avec une attitude radicalement opposée à celle d’un Doyle Brunson, il s’agit de l’irlandais Phil Laak.
Né à Dublin en 1972, il émigre rapidement aux Etats-Unis où il fait ses études d’ingénieur.
Pas réellement passionné par le travail, Phil exerce plusieurs petits boulots (croupier, voleur de voiture – en tout cas, c’est ce qu’il affirme -, agent immobilier, courtier …).
Déjà très bon joueur de backgammon, il décide en 1997 de devenir joueur professionnel. En 1999, il fait une rencontre décisive puisqu’il se lit d’amitié avec Antonio Esfandari (joueur professionnel). Les deux jeunes hommes décident de vivre quelques temps en colocation et de s’épauler.
Ils vont, ensemble, énormément progresser.
Aujourd’hui encore, ils aiment bien prendre une même chambre d’hôtel (une suite sans doute !) quand ils sont engagés dans le même tournoi.
Phil Laak ne serait pas en passe de rejoindre le clan très fermé des légendes du Poker si les critères n’étaient que tactiques.
En fait, la principale caractéristique de Phil Laak est d’être totalement incontrôlable à la table.
Un look bien rodé, il porte en permanence un sweat gris dont il rabat la capuche sur sa tête, lunettes noires, mais surtout une attitude déroutante pendant une partie.
Phil n’hésite en effet pas, en pleine partie, à faire des pompes ou des abdos, à crier, courir autour de la table, ou se cacher entièrement le visage sous sa capuche.
C’est Gus Hansen qui a trouvé à Phil son surnom, « The Unabomber » du nom d’un célèbre terroriste américain, Théodore Kaczynski, qui lui aussi portait lunettes noires et capuche.
Un comportement exubérant qui fait le bonheur des télés, mais qui dérange sans doute certains de ses adversaires.
Et ça marche.
Extrêmement agressif, souvent large (jouant beaucoup de mains, mêmes marginales) Phil, qui est aussi détenteur du record de la plus longue partie de poker avec 115 heures passées derrière les cartes, sait très bien ce qu’il fait, et son jeu lui a permit de réaliser quelques gros coups. Souvent en table finale ou « In the money », Phil détient 1 bracelet WSOP et 1 titre WPT.
Joueur fantasque, sa victoire au WSOP 2010, en est un exemple.
Head’s up décisif face à Andrew Pantling, Relance, sur-relance et tapis avec K-5 dépareillé face à A-9 à cœur. La paire de 5 recueillie au turn tiendra le coup. Le tout avec un bras dans le plâtre suite à un grave accident de Quad.
On ne devient pas légende du Poker pour rien …
(Sources internet multiples)
« The Unabomber », Phil Laak.
Ces dernières années, un joueur un peu spécial est devenu la coqueluche des médias avec une attitude radicalement opposée à celle d’un Doyle Brunson, il s’agit de l’irlandais Phil Laak.
Né à Dublin en 1972, il émigre rapidement aux Etats-Unis où il fait ses études d’ingénieur.
Pas réellement passionné par le travail, Phil exerce plusieurs petits boulots (croupier, voleur de voiture – en tout cas, c’est ce qu’il affirme -, agent immobilier, courtier …).
Déjà très bon joueur de backgammon, il décide en 1997 de devenir joueur professionnel. En 1999, il fait une rencontre décisive puisqu’il se lit d’amitié avec Antonio Esfandari (joueur professionnel). Les deux jeunes hommes décident de vivre quelques temps en colocation et de s’épauler.
Ils vont, ensemble, énormément progresser.
Aujourd’hui encore, ils aiment bien prendre une même chambre d’hôtel (une suite sans doute !) quand ils sont engagés dans le même tournoi.
Phil Laak ne serait pas en passe de rejoindre le clan très fermé des légendes du Poker si les critères n’étaient que tactiques.
En fait, la principale caractéristique de Phil Laak est d’être totalement incontrôlable à la table.
Un look bien rodé, il porte en permanence un sweat gris dont il rabat la capuche sur sa tête, lunettes noires, mais surtout une attitude déroutante pendant une partie.
Phil n’hésite en effet pas, en pleine partie, à faire des pompes ou des abdos, à crier, courir autour de la table, ou se cacher entièrement le visage sous sa capuche.
C’est Gus Hansen qui a trouvé à Phil son surnom, « The Unabomber » du nom d’un célèbre terroriste américain, Théodore Kaczynski, qui lui aussi portait lunettes noires et capuche.
Un comportement exubérant qui fait le bonheur des télés, mais qui dérange sans doute certains de ses adversaires.
Et ça marche.
Extrêmement agressif, souvent large (jouant beaucoup de mains, mêmes marginales) Phil, qui est aussi détenteur du record de la plus longue partie de poker avec 115 heures passées derrière les cartes, sait très bien ce qu’il fait, et son jeu lui a permit de réaliser quelques gros coups. Souvent en table finale ou « In the money », Phil détient 1 bracelet WSOP et 1 titre WPT.
Joueur fantasque, sa victoire au WSOP 2010, en est un exemple.
Head’s up décisif face à Andrew Pantling, Relance, sur-relance et tapis avec K-5 dépareillé face à A-9 à cœur. La paire de 5 recueillie au turn tiendra le coup. Le tout avec un bras dans le plâtre suite à un grave accident de Quad.
On ne devient pas légende du Poker pour rien …
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Ad Vitam- Durrrr
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Localisation : Ile St Germain / Issy les Moulineaux
Re: LES LEGENDES DU POKER
Le petit parie de Doyle me rapel un certain joueur français .......... Elky ^^ mais de mémoire la mise s'élevais seulement à 50 000 ( ce qui est déjà beaucoup ) mais un second parie de Elky est en route soit de soulever son poids en développé couché ^^ mais pour ce parie je n'ais plus d'info :'(
Bloknote- Isildur1
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Il renait un peu de ses cendres Phil.Je me souviens lors des High stakes Poker , il était vraiment pas au niveau de la table.Scared money a 200% ( marrant quand on sait que le mec a plus de 2 millions de gains ^^ ).
Mais depuis début 2010 il enchaine pas mal les résultats !
Mais depuis début 2010 il enchaine pas mal les résultats !
Re: LES LEGENDES DU POKER
Merci encore pour cet article bon il faut que je m'y mette, je voudrais en écrire un sur Gus Hansen !!
KKlemant- Bureau du club
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Je te le laisse, et je m'occupe rapidement de Chris Ferguson...
Ad Vitam- Durrrr
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Merci à tout le monde de me laisser Phil Gordon merci
Bloknote- Isildur1
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Re: LES LEGENDES DU POKER
En attendant que les bonnes volontés se transforment en actes, on continue …
Chris « Jésus » Ferguson
Chris Philip Ferguson est né en 1963 (comme moi...) à Los Angeles.
Fils d’un professeur en théorie des jeux et probabilités de l’université UCLA (ça ne s'invente pas...), il apprend le Poker vers 10 ans et fait de brillantes études. Il sort de l’université un doctorat en sciences informatiques en poche et, spécialiste des calculs de probabilité (lourde hérédité), commence à jouer en tournois en 1994.
Il monte, avec son associé Howard Lederer, le site de poker en ligne Full Tilt qui lui assure aujourd’hui l’essentiel de ses revenus et lui permet de jouer au Poker pour le plaisir.
Il est malgré tout détenteur de 5 bracelets WSOP, a terminé près de 60 fois « in the money », et aurait gagné plus de 7M de dollars en tournois.
Surnommé « Jésus » en raison de son look, barbe et cheveux longs il est pratiquement toujours coiffé d’un large chapeau de cow-boy noir et de lunettes noires.
Très apprécié sur le circuit pour sa gentillesse et son écoute, sa capacité à calculer les probabilités en fait un joueur redoutable et redouté.
Néanmoins la chance sait aussi lui sourire.
Ainsi, en finale du WSOP en 2000, « Jésus » est face à une autre légende, TJ Cloutier. Chris ouvre A-9 pendant que TJ découvre A-Q. Le flop donne un A-K-4, puis un nouveau K au turn. TJ est largement en tête, mais le coup de pouce du destin donne un 9 à la river à Chris qui sort TJ et lui offre, grâce à ce bad beat, un titre de Champion du Monde.
On ne devient pas légende du Poker pour rien …
(Sources internet multiples)
Ad Vitam- Durrrr
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Mais nous on est pas à la retraite on a un boulot !!Ad Vitam a écrit:
En attendant que les bonnes volontés se transforment en actes, on continue …
KKlemant- Bureau du club
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Age : 41
Re: LES LEGENDES DU POKER
Pffff ..., « à la retraite », j’t’en foutrais moi des « à la retraite ».
Saches, jeune padawan, que l’âge apporte expérience et surtout esprit de synthèse.
Ainsi, en 10 minutes, plutôt que de chatter sur un vulgaire Facebook ou un pénible Twitter, moi je te ponds un article sur TJ Cloutier. Tiens, la preuve …
TJ Cloutier
Né en 1939 à Albanie, en Californie, Thomas James Cloutier est de la même génération que Doyle Brunson.
D’ailleurs, comme Doyle, TJ était un athlète de haut niveau (Football Américain et Base Ball). Il dispute le Rose Bowl en 1959.
Des problèmes financiers familiaux, l’obligent à arrêter sa carrière.
Il se lance dans les affaires mais, réalisant rapidement qu’il peut gagner plus d’argent au Poker, il devient vite joueur professionnel.
6 bracelets WSOP (mais aucune victoire dans le main event) et une soixantaine de fois payé, il n’a jamais gagné une étape du WPT malgré deux tables finales. Il aurait cependant amassé plus de 10M en tournois. Il joue d’ailleurs exclusivement à cette variante, délaissant totalement le cash game.
A noter que T.J Cloutier a co-écrit 4 livres sur la stratégie du Poker avec Tom Mc Evoy.
L’énorme défaut de TJ est son addiction aux jeux et notamment les paris sportifs et le craps. Il y a maintes fois perdu sa chemise.
Fin 2009, il a même du, ruiné, mettre en vente son bracelet WSOP 2005 sur eBay.
L’acheteur (pour environ 4000 dollars) a ensuite décidé de lui restituer, considérant que lui seul en était digne.
Même s’il n’a jamais gagné le main event au WSOP, il y a disputé deux finales (1985 et 2000).
C’est lors de cette dernière qu’il perdra en bad beat contre Chris Ferguson (voir l’article correspondant)
La main légendaire est visible ici : TJ vs Jésus
On ne devient pas légende du Poker pour rien …
(Sources internet multiples)
Saches, jeune padawan, que l’âge apporte expérience et surtout esprit de synthèse.
Ainsi, en 10 minutes, plutôt que de chatter sur un vulgaire Facebook ou un pénible Twitter, moi je te ponds un article sur TJ Cloutier. Tiens, la preuve …
TJ Cloutier
Né en 1939 à Albanie, en Californie, Thomas James Cloutier est de la même génération que Doyle Brunson.
D’ailleurs, comme Doyle, TJ était un athlète de haut niveau (Football Américain et Base Ball). Il dispute le Rose Bowl en 1959.
Des problèmes financiers familiaux, l’obligent à arrêter sa carrière.
Il se lance dans les affaires mais, réalisant rapidement qu’il peut gagner plus d’argent au Poker, il devient vite joueur professionnel.
6 bracelets WSOP (mais aucune victoire dans le main event) et une soixantaine de fois payé, il n’a jamais gagné une étape du WPT malgré deux tables finales. Il aurait cependant amassé plus de 10M en tournois. Il joue d’ailleurs exclusivement à cette variante, délaissant totalement le cash game.
A noter que T.J Cloutier a co-écrit 4 livres sur la stratégie du Poker avec Tom Mc Evoy.
L’énorme défaut de TJ est son addiction aux jeux et notamment les paris sportifs et le craps. Il y a maintes fois perdu sa chemise.
Fin 2009, il a même du, ruiné, mettre en vente son bracelet WSOP 2005 sur eBay.
L’acheteur (pour environ 4000 dollars) a ensuite décidé de lui restituer, considérant que lui seul en était digne.
Même s’il n’a jamais gagné le main event au WSOP, il y a disputé deux finales (1985 et 2000).
C’est lors de cette dernière qu’il perdra en bad beat contre Chris Ferguson (voir l’article correspondant)
La main légendaire est visible ici : TJ vs Jésus
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Ad Vitam- Durrrr
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Bloknote a écrit:Le petit parie de Doyle me rapel un certain joueur français .......... Elky ^^ mais de mémoire la mise s'élevais seulement à 50 000 ( ce qui est déjà beaucoup ) mais un second parie de Elky est en route soit de soulever son poids en développé couché ^^ mais pour ce parie je n'ais plus d'info :'(
Il est pas très epais elky, avec juste un ptit peu d'entrainement c easy de soulever son poids en developper coucher,
midoo13- Bureau du club
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Re: LES LEGENDES DU POKER
En attendant le Gus Hansen par KKlemant et le Phil Gordon de Bloknote, tous les deux plus prompts à parler qu'à agir …
Daniel « Kid Poker » Negreanu
Daniel Negreanu est né en 1974 à Toronto, de parents Roumains exilés au Canada depuis 1967.
Il commence à jouer très tôt, et participe à de nombreuses parties illégales autour de chez lui.
En 1995, s’estimant assez armé, et disposant d’un petit capital monté petit à petit, il part pour Vegas.
De joueur solide au Canada, il passe pigeon et perd la totalité de son argent.
Negreanu raconte : "A la minute où je suis arrivé à Vegas, je me suis assis à une table $20/$40 lors des WSOP". Il y perd la presque totalité de ses 3,000$ de bankroll. Décidant que ce n'était pas sa nuit, il part se rafraîchir, et à son retour est très surpris de voir qu'il n'y avait "plus personne en vue (les autres joueurs avaient quitté la table juste après qu'il se soit levé) - j'ai eu le sentiment immédiat que pour la première fois de ma vie, j'étais le pigeon !"
Forcé de retourner chez lui se refaire une santé, il multiplie ensuite les allers-retours, perdant à Sin City, ses gains canadiens.
Néanmoins, petit à petit, il acquiert l’expérience qui lui manquait et peu à peu, la chance tourne.
A partit de 1997, il gagne. En 1998, il remporte son premier bracelet WSOP à 23 ans et est surnommé « Kid Poker ».
Il sera nommé joueur de l’année en 2004 après avoir gagné son troisième bracelet et avoir atteint 4 tables finale. Il remporte également le Bellagion Five Diamond cette année là.
4 bracelets WSOP, 2 titres WPT, plus de 12,5 Millions de $ de gains en tournoi.
Il écrit de très nombreux articles pour CardPlayer et participe à l’écriture de plusieurs livres. Il apparait très régulièrement à la TV.
Ce qui fait le charme du Kid Poker, c’est bien entendu, sa gentillesse, sa bonne humeur et son humour à la table.
Mais ce qui en fait un joueur extraordinaire, c’est sa capacité, à l’instar d’un Gus Hansen (qui se repose souvent sur son instinct plus que sur une véritable lecture), à lire le jeu de ses adversaires.
Daniel est du genre à payer une coquette somme à la rivière, en sachant qu’il est battu, rien que pour voir les cartes de son adversaire (dans les cas, rares, où il ne les a pas devinées). Et une fois que Daniel vous a cerné, c’est fini, vous n’allez plus gagner une main de la partie contre lui.
On ne devient pas légende du Poker pour rien …
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Daniel « Kid Poker » Negreanu
Daniel Negreanu est né en 1974 à Toronto, de parents Roumains exilés au Canada depuis 1967.
Il commence à jouer très tôt, et participe à de nombreuses parties illégales autour de chez lui.
En 1995, s’estimant assez armé, et disposant d’un petit capital monté petit à petit, il part pour Vegas.
De joueur solide au Canada, il passe pigeon et perd la totalité de son argent.
Negreanu raconte : "A la minute où je suis arrivé à Vegas, je me suis assis à une table $20/$40 lors des WSOP". Il y perd la presque totalité de ses 3,000$ de bankroll. Décidant que ce n'était pas sa nuit, il part se rafraîchir, et à son retour est très surpris de voir qu'il n'y avait "plus personne en vue (les autres joueurs avaient quitté la table juste après qu'il se soit levé) - j'ai eu le sentiment immédiat que pour la première fois de ma vie, j'étais le pigeon !"
Forcé de retourner chez lui se refaire une santé, il multiplie ensuite les allers-retours, perdant à Sin City, ses gains canadiens.
Néanmoins, petit à petit, il acquiert l’expérience qui lui manquait et peu à peu, la chance tourne.
A partit de 1997, il gagne. En 1998, il remporte son premier bracelet WSOP à 23 ans et est surnommé « Kid Poker ».
Il sera nommé joueur de l’année en 2004 après avoir gagné son troisième bracelet et avoir atteint 4 tables finale. Il remporte également le Bellagion Five Diamond cette année là.
4 bracelets WSOP, 2 titres WPT, plus de 12,5 Millions de $ de gains en tournoi.
Il écrit de très nombreux articles pour CardPlayer et participe à l’écriture de plusieurs livres. Il apparait très régulièrement à la TV.
Ce qui fait le charme du Kid Poker, c’est bien entendu, sa gentillesse, sa bonne humeur et son humour à la table.
Mais ce qui en fait un joueur extraordinaire, c’est sa capacité, à l’instar d’un Gus Hansen (qui se repose souvent sur son instinct plus que sur une véritable lecture), à lire le jeu de ses adversaires.
Daniel est du genre à payer une coquette somme à la rivière, en sachant qu’il est battu, rien que pour voir les cartes de son adversaire (dans les cas, rares, où il ne les a pas devinées). Et une fois que Daniel vous a cerné, c’est fini, vous n’allez plus gagner une main de la partie contre lui.
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Ad Vitam- Durrrr
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Oui oui le voilà je l'écris cet article lol mais je bosse la journée moi je glande pas au boulot ^^
Gus « The Great Dane » Hansen
Gustav Hansen est né le 13 février 1974 à Copenhague, Danemark. Avant de devenir joueur de poker professionnel, Gus était un très bon joueur de backgammon de niveau mondial et un champion junior de tennis comme beaucoup de Danois de son époque. Il tenta d'ailleurs de devenir joueur professionnel de backgammon et d'en vivre notamment à New York avant d'abandonner à cause d'un nombre de joueurs trop faibles puis deviens joueur de poker professionnel. Il connut très vite la notoriété en remportant la première étape WPT dans l’enceinte du Bellagio. Joueur ultra-agressif, relançant avec des mains marginales, ses pairs ne voit en lui qu’un joueur chanceux au lendemain de sa victoire. Il reste que ses résultats en tournoi sont parmi les plus impressionnants : il est le seul joueur à avoir remporté quatre tournois du World Poker Tour, en plus de s'être adjugé le tournoi sur invitation Poker Superstars. Le Poker Superstars est un tournoi réunissant les meilleurs joueurs du monde. Le style Hansen était né. Agressivité, cotes du pot et lecture optimale de ses adversaires sont les principales armes de Gus Hansen. Auteur de gros swings, Hansen peut se vanter d’avoir remporté 1 million de dollars sur le Net en l’espace de 24 heures (plus gros gain jamais enregistré sur cette période de temps). Peu avant, il s’était adjugé un pot de 575.700 $ devant les caméras des High Stakes Poker, grâce à un carré de cinq contre un full au six par les cinq pour Daniel Negreanu.
Gus Hansen a accumulé de nombreux succès, comme la première place au tournoi sur invitation Poker Superstars, qui réunissait les meilleurs joueurs de la planète. Il a également remporté l’Aussie Millions 2007 en Australie en janvier 2007. A la suite de cette retentissante victoire, il a publié un livre intitulé « Chaque main révélée » où il revient sur l’ensemble des mains qu’il a jouées durant son tournoi, et analyse ses décisions. Ce livre a véritablement fait connaître au monde le style large-agressif joué par ce Danois étonnant.
Il fut l'un des premiers à être intégré dans le World Poker Tour Walk of Fame en 2004, avec les joueurs Doyle Brunson et James Garner. Gus Hansen fut l'un des fondateurs de la salle de poker virtuelle pokerchamps.com, lancée en 2003. En 2005, la société et le logiciel ont été vendus à la société britannique Betfair pour près de 13 millions d'euros.
Malgré tous ces succès, Gus Hansen a eu un revers de fortune ces dernières années. Il dit lui-même avoir perdu jusqu’ à 1 000 000 de dollars en un jeu, notamment au "bug game" qui eu lieu au Bellagio de Las Vegas. Il admit aussi avoir presque laissé sa chemise dans des paris sportifs. Mais pas de soucis pour Gus, il s’est refait depuis.
On ne devient pas légende du Poker pour rien …
Gus « The Great Dane » Hansen
Gustav Hansen est né le 13 février 1974 à Copenhague, Danemark. Avant de devenir joueur de poker professionnel, Gus était un très bon joueur de backgammon de niveau mondial et un champion junior de tennis comme beaucoup de Danois de son époque. Il tenta d'ailleurs de devenir joueur professionnel de backgammon et d'en vivre notamment à New York avant d'abandonner à cause d'un nombre de joueurs trop faibles puis deviens joueur de poker professionnel. Il connut très vite la notoriété en remportant la première étape WPT dans l’enceinte du Bellagio. Joueur ultra-agressif, relançant avec des mains marginales, ses pairs ne voit en lui qu’un joueur chanceux au lendemain de sa victoire. Il reste que ses résultats en tournoi sont parmi les plus impressionnants : il est le seul joueur à avoir remporté quatre tournois du World Poker Tour, en plus de s'être adjugé le tournoi sur invitation Poker Superstars. Le Poker Superstars est un tournoi réunissant les meilleurs joueurs du monde. Le style Hansen était né. Agressivité, cotes du pot et lecture optimale de ses adversaires sont les principales armes de Gus Hansen. Auteur de gros swings, Hansen peut se vanter d’avoir remporté 1 million de dollars sur le Net en l’espace de 24 heures (plus gros gain jamais enregistré sur cette période de temps). Peu avant, il s’était adjugé un pot de 575.700 $ devant les caméras des High Stakes Poker, grâce à un carré de cinq contre un full au six par les cinq pour Daniel Negreanu.
Gus Hansen a accumulé de nombreux succès, comme la première place au tournoi sur invitation Poker Superstars, qui réunissait les meilleurs joueurs de la planète. Il a également remporté l’Aussie Millions 2007 en Australie en janvier 2007. A la suite de cette retentissante victoire, il a publié un livre intitulé « Chaque main révélée » où il revient sur l’ensemble des mains qu’il a jouées durant son tournoi, et analyse ses décisions. Ce livre a véritablement fait connaître au monde le style large-agressif joué par ce Danois étonnant.
Il fut l'un des premiers à être intégré dans le World Poker Tour Walk of Fame en 2004, avec les joueurs Doyle Brunson et James Garner. Gus Hansen fut l'un des fondateurs de la salle de poker virtuelle pokerchamps.com, lancée en 2003. En 2005, la société et le logiciel ont été vendus à la société britannique Betfair pour près de 13 millions d'euros.
Malgré tous ces succès, Gus Hansen a eu un revers de fortune ces dernières années. Il dit lui-même avoir perdu jusqu’ à 1 000 000 de dollars en un jeu, notamment au "bug game" qui eu lieu au Bellagio de Las Vegas. Il admit aussi avoir presque laissé sa chemise dans des paris sportifs. Mais pas de soucis pour Gus, il s’est refait depuis.
On ne devient pas légende du Poker pour rien …
KKlemant- Bureau du club
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Re: LES LEGENDES DU POKER
KKlemant a écrit:Oui oui le voilà je l'écris cet article
Bein voilà ...
Et ça aurait été dommage de rater ce superbe article.
Tu nous fait Patrick "P14B" Bruel pour demain ?
Ad Vitam- Durrrr
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Ad Vitam a écrit:
Bein voilà ...
Et ça aurait été dommage de rater ce superbe article.
Tu nous fait Patrick "P14B" Bruel pour demain ?
Merci ^^
Heu bah pour P14B ca va faire 2 lignes si c'est pour parler que du poker...
KKlemant- Bureau du club
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Bah, pour rigoler, on peut toujours essayer …
Patrick "P14B" Bruel
Patrick Bruel, est né en 1959, à Tlemcen, en Algérie Française, mais s'installe rapidement en France, à Argenteuil.
Il découvre le Poker vers 8 ans et, au lycée, se fait de l’argent de poche en jouant avec quelques potes.
En 1984, son premier grand succès, "Marre de cette nana là !" lui ouvre la porte du showbizz.
Il tourne dans quelques films, dont "Attention Bandits" de Claude Lelouch ou le "Coup de Sirocco" d'Alexandre Arcady, mais ça n’excuse en rien sa participation cinématographique à "P.R.O.F.S" ou au fameux "Diplomés du dernier rang"…
10 ans plus tard, en plein dans les années 90, c’est la Bruelmania, un succès indescriptible auprès des filles (Je peux vous assurer qu’à l’époque j’avais environ 25 ans, et on en a chié, moi et mes potes, avec nos copines qui étaient toutes, secrétement ou non, amoureuses du bellâtre) . "Alors Regarde", "Place des Grands Hommes", Patriiiiiiiiiick passe en boucle. Télé, radio, presse écrite, on lui demande son avis sur tout, et le pire, c’est qu’il le donne.
Et puis, en 1994, c’est le drame...
Au cours d’une scéance photo à Vegas, celui qui deviendra sur les sites en ligne "P14B", découvre le Poker de Casino.
Passionné, il entreprant de se perfectionner et décroche, fruit de ses efforts acharnés, un titre de Champion du Monde WSOP en 1998.
Ouais, enfin, "Champion du Monde", c’est vite dit.
En fait, il a gagné une des trente étapes environ du Championnat WSOP 98.
Chaque année, il y a 30 joueurs qui reçoivent un bracelet de champion du monde car ils ont remporté une manche du tournoi WSOP. Si il effectivement gagné le tournoi 1998, mais n'a pas remporté la finale. C'est donc un champion du monde qui ne peut pas porter le titre officiel de champion WSOP 1998 (Scotty Nguyen est le champion du monde 1998).
Tout est une question de présentation…
Néanmoins, les spécialistes s’accordent à dire que P14B est un très bon joueur de Poker, surtout en Omaha, sa variante préférée. Il en serait tout de même au million de $ de gains en tournoi.
Bruel a, incontestablement, une responsabilité importante dans l’essor de ce jeu en France et à sa popularité actuelle. C’est d’ailleurs ce que lui repproche certains.
Associé chez Winamax, il a sorti un DVD "Poker Coach", et a surtout lancé les retransmission du World Poker Tour sur canal. Il les commente, assez bien d'ailleurs, en tout cas, pas trop mal...
Certains diront que c’est plus facile quand on connait les cartes de tout le monde.
Ah, j’oubliais …
On ne devient pas Légende du Poker pour rien …
Cliquez ici pour : Un Bluff magistral expliqué par Bruel
(Sources internet multiples)
Patrick "P14B" Bruel
Patrick Bruel, est né en 1959, à Tlemcen, en Algérie Française, mais s'installe rapidement en France, à Argenteuil.
Il découvre le Poker vers 8 ans et, au lycée, se fait de l’argent de poche en jouant avec quelques potes.
En 1984, son premier grand succès, "Marre de cette nana là !" lui ouvre la porte du showbizz.
Il tourne dans quelques films, dont "Attention Bandits" de Claude Lelouch ou le "Coup de Sirocco" d'Alexandre Arcady, mais ça n’excuse en rien sa participation cinématographique à "P.R.O.F.S" ou au fameux "Diplomés du dernier rang"…
10 ans plus tard, en plein dans les années 90, c’est la Bruelmania, un succès indescriptible auprès des filles (Je peux vous assurer qu’à l’époque j’avais environ 25 ans, et on en a chié, moi et mes potes, avec nos copines qui étaient toutes, secrétement ou non, amoureuses du bellâtre) . "Alors Regarde", "Place des Grands Hommes", Patriiiiiiiiiick passe en boucle. Télé, radio, presse écrite, on lui demande son avis sur tout, et le pire, c’est qu’il le donne.
Et puis, en 1994, c’est le drame...
Au cours d’une scéance photo à Vegas, celui qui deviendra sur les sites en ligne "P14B", découvre le Poker de Casino.
Passionné, il entreprant de se perfectionner et décroche, fruit de ses efforts acharnés, un titre de Champion du Monde WSOP en 1998.
Ouais, enfin, "Champion du Monde", c’est vite dit.
En fait, il a gagné une des trente étapes environ du Championnat WSOP 98.
Chaque année, il y a 30 joueurs qui reçoivent un bracelet de champion du monde car ils ont remporté une manche du tournoi WSOP. Si il effectivement gagné le tournoi 1998, mais n'a pas remporté la finale. C'est donc un champion du monde qui ne peut pas porter le titre officiel de champion WSOP 1998 (Scotty Nguyen est le champion du monde 1998).
Tout est une question de présentation…
Néanmoins, les spécialistes s’accordent à dire que P14B est un très bon joueur de Poker, surtout en Omaha, sa variante préférée. Il en serait tout de même au million de $ de gains en tournoi.
Bruel a, incontestablement, une responsabilité importante dans l’essor de ce jeu en France et à sa popularité actuelle. C’est d’ailleurs ce que lui repproche certains.
Associé chez Winamax, il a sorti un DVD "Poker Coach", et a surtout lancé les retransmission du World Poker Tour sur canal. Il les commente, assez bien d'ailleurs, en tout cas, pas trop mal...
Certains diront que c’est plus facile quand on connait les cartes de tout le monde.
Ah, j’oubliais …
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Ad Vitam- Durrrr
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Re: LES LEGENDES DU POKER
je suis à la place de negreanu je pete tout lool
midoo13- Bureau du club
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Ad Vitam a écrit:Bah, pour rigoler, on peut toujours essayer …
Patrick "P14B" Bruel
Patrick Bruel, est né en 1959, à Tlemcen, en Algérie Française, mais s'installe rapidement en France, à Argenteuil.
Il découvre le Poker vers 8 ans et, au lycée, se fait de l’argent de poche en jouant avec quelques potes.
En 1984, son premier grand succès, "Marre de cette nana là !" lui ouvre la porte du showbizz.
Il tourne dans quelques films, dont "Attention Bandits" de Claude Lelouch ou le "Coup de Sirocco" d'Alexandre Arcady, mais ça n’excuse en rien sa participation cinématographique à "P.R.O.F.S" ou au fameux "Diplomés du dernier rang"…
10 ans plus tard, en plein dans les années 90, c’est la Bruelmania, un succès indescriptible auprès des filles (Je peux vous assurer qu’à l’époque j’avais environ 25 ans, et on en a chié, moi et mes potes, avec nos copines qui étaient toutes, secrétement ou non, amoureuses du bellâtre) . "Alors Regarde", "Place des Grands Hommes", Patriiiiiiiiiick passe en boucle. Télé, radio, presse écrite, on lui demande son avis sur tout, et le pire, c’est qu’il le donne.
Et puis, en 1994, c’est le drame...
Au cours d’une scéance photo à Vegas, celui qui deviendra sur les sites en ligne "P14B", découvre le Poker de Casino.
Passionné, il entreprant de se perfectionner et décroche, fruit de ses efforts acharnés, un titre de Champion du Monde WSOP en 1998.
Ouais, enfin, "Champion du Monde", c’est vite dit.
En fait, il a gagné une des trente étapes environ du Championnat WSOP 98.
Chaque année, il y a 30 joueurs qui reçoivent un bracelet de champion du monde car ils ont remporté une manche du tournoi WSOP. Si il effectivement gagné le tournoi 1998, mais n'a pas remporté la finale. C'est donc un champion du monde qui ne peut pas porter le titre officiel de champion WSOP 1998 (Scotty Nguyen est le champion du monde 1998).
Tout est une question de présentation…
Néanmoins, les spécialistes s’accordent à dire que P14B est un très bon joueur de Poker, surtout en Omaha, sa variante préférée. Il en serait tout de même au million de $ de gains en tournoi.
Bruel a, incontestablement, une responsabilité importante dans l’essor de ce jeu en France et à sa popularité actuelle. C’est d’ailleurs ce que lui repproche certains.
Associé chez Winamax, il a sorti un DVD "Poker Coach", et a surtout lancé les retransmission du World Poker Tour sur canal. Il les commente, assez bien d'ailleurs, en tout cas, pas trop mal...
Certains diront que c’est plus facile quand on connait les cartes de tout le monde.
Ah, j’oubliais …
On ne devient pas Légende du Poker pour rien …
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H.S patrick n'est pas une légende du poker lool
bon d'accord c'est vrai que c'est le 1er français à avoir décrocher un bracelet a l'epoque, mais si mes souvenirs sont bons c'était NH PL avec 112 joueurs au départ ya eu mieux depuis comme performance, par contre ce mec est hallucinant il a comme on dit la baraka, il reussit a tout ce qu'il touche, Musique, Cinéma, Poker....
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Excuse moi de te contredire mais il y a eu 2 français avant lui qui on décroché un bracelet WSOP, en 1988 et 1997...midoo13 a écrit:
bon d'accord c'est vrai que c'est le 1er français à avoir décrocher un bracelet a l'epoque, mais si mes souvenirs sont bons c'était NH PL avec 112 joueurs au départ ya eu mieux depuis comme performance, par contre ce mec est hallucinant il a comme on dit la baraka, il reussit a tout ce qu'il touche, Musique, Cinéma, Poker....
KKlemant- Bureau du club
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Oui tu as tout a fait raison kklem', autant pour moi, c'est juste que j'avais lu un article disant que david benyamine était le 2e francais à avoir remporter un bracelet WSOP, je verifierai mes sources la prochaine fois...
midoo13- Bureau du club
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Re: LES LEGENDES DU POKER
Bon, on ne va pas s’arrêter sur PB quand même, et puisqu'Ahmed en parle …
David Benyamine
Enfin un vrai joueur Français.
Personnellement, l'un de mes préférés.
Né en 1972, à Paris, David Benyamine, apprend le poker à l’âge de 12 ans, mais c’est au tennis qu’il commence à se faire un nom. Victime de douleurs récurrentes au dos, il doit arrêter sa carrière sportive vers 20 ans.
A défaut de passer sur le billard, il se passionne pour les boules colorées et les queues et devient un des 10 meilleurs joueurs Français.
En fait, ce n’est que vers 1998/99 qu’il se passionne pour le poker et commence à fréquenter régulièrement les cercles Parisiens.
Il rencontre pas mal de succès aux tables de cash game et en tournoi, et remporte en 2003 l’étape Française du WPT à l’Aviation Club de France.
Direction les Etats-Unis où il dispute, en parallèle, tournois et cash-game.
En 2004, il est arrêté par le FBI (il portait le même nom qu’un terroriste recherché), disculpé, il est néanmoins renvoyé en France pour un problème de visa (il passe tout de même une petite semaine dans une prison américaine … !).
Il revient aux USA en 2005, avec cette fois un visa de travail, et s’y installe.
Au Bellagio, David rencontre une joueuse professionnelle, Erica Schoenberg, qui devient sa compagne et il a bien de la chance ! Cliquez ici pour constater qu'il a vraiment beaucoup de chance … !
Il fréquente les tournois, notamment en Omaha, variante dans laquelle il remportera un bracelet WSOP.
Courtois, élégant, et seul Français à fréquenter le Big Game, il est clairement la référence du poker en France mais souffre d’un déficit important de notoriété par rapport à Elky ou Ludovic Lacay. Sans doute parce qu’il vit aux Etats Unis et surtout ne privilégie guère les tournois, préférant jouer, jusqu’au bout de la nuit, en cash game à de très très hautes limites.
Régulier de l’émission « Poker After Dark », David Benyamine est un habitué des tables de High Stakes.
Membre de la team Full Tilt, vous pourrez facilement le croiser online, à condition de jouer sur les plus hautes tables (là où l'oxygène se raréfie !)
Bref, du très très haut niveau.
On ne devient pas légende du Poker pour rien …
(Sources internet multiples)
David Benyamine
Enfin un vrai joueur Français.
Personnellement, l'un de mes préférés.
Né en 1972, à Paris, David Benyamine, apprend le poker à l’âge de 12 ans, mais c’est au tennis qu’il commence à se faire un nom. Victime de douleurs récurrentes au dos, il doit arrêter sa carrière sportive vers 20 ans.
A défaut de passer sur le billard, il se passionne pour les boules colorées et les queues et devient un des 10 meilleurs joueurs Français.
En fait, ce n’est que vers 1998/99 qu’il se passionne pour le poker et commence à fréquenter régulièrement les cercles Parisiens.
Il rencontre pas mal de succès aux tables de cash game et en tournoi, et remporte en 2003 l’étape Française du WPT à l’Aviation Club de France.
Direction les Etats-Unis où il dispute, en parallèle, tournois et cash-game.
En 2004, il est arrêté par le FBI (il portait le même nom qu’un terroriste recherché), disculpé, il est néanmoins renvoyé en France pour un problème de visa (il passe tout de même une petite semaine dans une prison américaine … !).
Il revient aux USA en 2005, avec cette fois un visa de travail, et s’y installe.
Au Bellagio, David rencontre une joueuse professionnelle, Erica Schoenberg, qui devient sa compagne et il a bien de la chance ! Cliquez ici pour constater qu'il a vraiment beaucoup de chance … !
Il fréquente les tournois, notamment en Omaha, variante dans laquelle il remportera un bracelet WSOP.
Courtois, élégant, et seul Français à fréquenter le Big Game, il est clairement la référence du poker en France mais souffre d’un déficit important de notoriété par rapport à Elky ou Ludovic Lacay. Sans doute parce qu’il vit aux Etats Unis et surtout ne privilégie guère les tournois, préférant jouer, jusqu’au bout de la nuit, en cash game à de très très hautes limites.
Régulier de l’émission « Poker After Dark », David Benyamine est un habitué des tables de High Stakes.
Membre de la team Full Tilt, vous pourrez facilement le croiser online, à condition de jouer sur les plus hautes tables (là où l'oxygène se raréfie !)
Bref, du très très haut niveau.
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Ad Vitam- Durrrr
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